Quand l’insulte tient lieu de pensée

Les observateurs observés se déchainent et s’étranglent. Petit florilège des qualificatifs dont j’ai été affublé après la « lettre ouverte aux observateurs et aux souffleurs de haine sur les braises du monde« :

« crétin, médiocre, contradictoire, infantile, adolescent boutonneux, pitoyable, risible, vierge effarouchée, abruti, malhonnête, déchet culturel, de la m****, triste sire, grotesque, niais, incompétent, ignare, très mauvais journaliste, parasite, nauséabond, médiocre suiveur, bobo, pitoyable, médiocre (tout court cette fois), neuneu du service public, con, imbus personnage, malfaisant de la bienpensance (sic), socialo, hystérique psychotique, grand lobotomisé et hypnotisé, charognard perfide, oligophrène, ersatz de journaliste, garde chiourme de Levrat, guigolo (sic) médiatique, gauche qui pue, affreux gauchiste, « journaliste » (notez les guillemets), bisousours hébété, abruti dans le déni, guignol, type d’excité gauchiste, traître au pays et à ses traditions, moron, consanguin, dhimmi honteux, endoctriné perdu, pire crevure et stalinien ».

MISE A JOUR (9.1.2016). On ajoutera encore:
« tartufe, crypto-communiste au service de l’ensauvagement de l’occident, pauvre choux, propagandiste pro migrants musulmans et nazislamo-kollabo ».

Je m’y attendais, mais il est toujours assez drôle de voir l’insulte se répandre lorsqu’elle sert de pensée.

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